Burkina Faso : Ouverture des souscriptions pour accompagner l’union des supporteurs à la CAN 2023 à Bouaké

Burkina Faso : Ouverture des souscriptions pour accompagner l’union des supporteurs à la CAN 2023 à Bouaké

À quelques jours du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations 2023, l’Union nationale des supporters des Etalons (UNSE) a annoncé l’ouverture des souscriptions pour le rallye Bouaké, lieu de la compétition. Lors d’une réunion ce lundi 8 janvier 2024, l’UNSE a dévoilé ses plans pour la 34ème édition de la CAN.

Selon l’UNSE, déjà 20 voitures de plus de 60 places sont mobilisées pour transporter les supporters à Bouaké. Près de 2000 d’entre eux sont attendus pour soutenir l’équipe nationale burkinabè. Boukaré Tiendrebeogo, secrétaire général de l’UNSE, a précisé que la troupe d’animation sera entièrement prise en charge par le ministère, tandis que les autres supporters feront l’effort de se prendre en charge.

Les voyages sont prévus en aller-retour pour chaque rencontre de l’équipe nationale burkinabè. Les inscriptions ont débuté le lundi 8 janvier 2024, avec des points de souscription au stade municipal à Ouagadougou et au stade Wobi à Bobo-Dioulasso. Les prix varient de 15 000 à 25 000 FCFA en fonction de la détention ou non de la carte de supporteur. Boukaré Tiendrebeogo a souligné que l’UNSE est prête pour cette compétition majeure, avec une troupe d’animation renforcée par un matériel fourni par le Fonds National pour la Promotion des Sports et des Loisirs.

Les conditions d’hébergement et de restauration seront à la charge des souscripteurs, avec des options variées allant de dortoirs abordables à des hôtels plus confortables. Les souscripteurs présenteront également un carnet de santé à jour et des documents d’identité. La première rencontre des Étalons est prévue le 16 janvier 2024, avec le départ du convoi le 14 janvier 2024. L’UNSE a également vanté la qualité des voitures qui assureront le transport des supporteurs. La mobilisation promet d’être intense pour cette échéance sportive majeure.

Stéphane Atayi 

laredaction

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