Burkina Faso/Manipulation : Les ennemis dans leur stratégie de division du peuple burkinabè
Les ennemis du Burkina Faso sont toujours à l’œuvre, pour semer le chaos au pays des hommes intègres. Dans leur méthode de propagande et de soutien aux terroristes, ils visent des objectifs bien précis. Semer le doute, bénéficier de l’attention de la communauté internationale, et surtout, monter les burkinabè les uns contre les autres, afin de pouvoir freiner l’élan de la lutte.
Ces ennemis sont conscients que l’unité du peuple burkinabè autour de leurs autorités ne fera que propulser le pays en avant, en matière de lutte contre le terrorisme et pour le développement effectif du pays. Alors il faut à tout prix briser ce lien d’entraide, de soutien et de solidarité, à travers des mensonges et d’incitation à la haine, à la révolte.
Les supposés massacres des civils évoqués par des acteurs internationaux, ou les velléités d’extermination des minorités ou encore des peuls au Burkina Faso par des soldats évoqués par des apatrides et des médias complices, sans oublier les sujets de religions exposés par ces gens, ne sont que des prétextes qui poursuivent un seul objectif, celui de créer des tensions et de division au sein de la population burkinabè.
Ce faisant, ils réussiront à désolidariser les soutiens du pouvoir du Capitaine Ibrahim TRAORE et des forces combattantes, ensuite saper les efforts de plusieurs mois. L’union de ce peuple qui a compris les enjeux de la lutte, s’est engagé pour défendre sa dignité et obtenir sa liberté, dérange l’ennemi au point de vouloir tout remettre en cause, afin d’atteindre son objectif ultime, celui de créer la chute du Capitaine Ibrahim TRAORE, reprendre les affaires du pays en mains et le soumettre à l’exploitation.
Le peuple burkinabè doit rester déterminé et invincible dans son combat pour sa liberté et sa souveraineté. Aucun de ceux qui sont à l’extérieur et affirment mener la lutte pour l’intérêt du pays ou ceux qui se disent défenseurs des droits des humains, ne s’intéressent réellement au bien-être du peuple, si ce n’est à leurs propres intérêts.
Bari Kambo