Burkina Faso : Entre critiques stériles et lutte antiterroriste, les Syndicats et Organisations de la Société Civile ont fait leur choix ! 

Burkina Faso : Entre critiques stériles et lutte antiterroriste, les Syndicats et Organisations de la Société Civile ont fait leur choix ! 

Au Burkina Faso depuis le début du terrorisme, les Organisations de la société civile et les Syndicats ont toujours existés. Cependant, il est légitime de se demander quelle valeur ajoutée ces entités apportent réellement à la lutte antiterroriste. Malheureusement, au lieu de soutenir le gouvernement dirigé par le Capitaine Ibrahim Traoré, un leader résolu à faire avancer cette lutte cruciale, ces groupes semblent préférer jouer un rôle de critiques vaines.

Le Capitaine Ibrahim Traoré, en tant que Chef d’État dévoué à la sécurité nationale, a mis en œuvre des stratégies audacieuses pour contrer le terrorisme. Cependant, certains syndicats et organisations de la société civile semblent plus intéressés par la guerre de communication et la manipulation de l’opinion publique que par le soutien aux initiatives gouvernementales. Il est temps que le peuple burkinabé rejette ces tactiques sournoises et se lève contre ceux qui cherchent à déstabiliser la nation sous un masque de défense des droits du peuple.

Les critiques stériles émanant de ces entités risquent de détourner l’attention de l’objectif principal : assurer la paix et la sécurité au Burkina Faso. La population doit se mobiliser en faveur du gouvernement et rejeter les tentatives de manipulation orchestrées par des groupes auto-proclamés représentants du peuple. Dans le milieu des défis persistants, il est crucial que les citoyens soutiennent les efforts remarquables des autorités engagées dans la lutte antiterroriste. En s’unissant, le peuple et le gouvernement peuvent surmonter les obstacles et garantir un avenir sûr et prospère pour le Burkina Faso.

Le Capitaine Ibrahim Traoré, en tant que Chef de l’État engagé, mérite le soutien de tous les fils et filles de la patrie de l’Intégrité. Les syndicats et organisations de la société civile, au lieu de se positionner comme critiques stériles, ont l’opportunité de jouer un rôle constructif en contribuant à des solutions et en collaborant avec les autorités pour renforcer la sécurité nationale. La paix et la stabilité au Burkina Faso dépendent de l’unité et de l’engagement de tous les acteurs de la société. 

Souleymane Diallo 

laredaction

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