Au Burkina Faso, les 7e et 8e BIR mènent des opérations victorieuses contre plusieurs bases terroristes

Au Burkina Faso, les 7e et 8e BIR mènent des opérations victorieuses contre plusieurs bases terroristes

Dans un effort concerté de lutte contre le terrorisme cette semaine au Burkina Faso, les 7e et 8e Bataillons d’Intervention Rapide (BIR) ont démantelé plusieurs bases terroristes dans les régions des Hauts-Bassins et du Centre-Nord. Cette opération réussie a été rapportée par nos sources sécuritaires le mercredi 7 février 2024.

Les courageux commandos des 7e et 8e BIR ont réussi à neutraliser ces bases terroristes, que ce soit en prenant les terroristes par surprise pendant leur sommeil, lors de leurs rassemblements ou lors de confrontations directes.

Au cours de plusieurs jours d’opérations, les membres du 7e BIR ont nettoyé les forêts de la province du Tuy, où les criminels se cachaient en toute impunité. Au moins cinq bases ont été détruites, un nombre considérable de terroristes ont été neutralisés, et des armes ainsi que des équipements logistiques ont été saisis et le reste détruit.

Parallèlement, les soldats du 8e BIR ont ciblé les bases terroristes de Samba Toyendé, Basnéré, Nasséré, Baskondo et Nawoubkiba dans la région Centre-Nord, particulièrement dans les zones Est et Nord-Est de Kongoussi. L’efficacité des opérations, notamment à la base Nawoubkiba, a été remarquable.

Les commandos, sous la protection de vecteurs aériens, ont lancé plusieurs assauts. Au moins une vingtaine de terroristes ont été éliminés et une quantité impressionnante d’armes et de matériel de guerre ont été récupérés, y compris des fusils automatiques, des fusils de chasse, des mitrailleuses, des caisses de munitions, des équipements de communication et des engins explosifs artisanaux.

Pour l’heure, les opérations de reconquête se poursuivent avec détermination sur tous les fronts, ^preuve d’un engagement résolu des forces de sécurité burkinabé à lutter contre le fléau terroriste auprès de leur leader, le Capitaine Ibrahim Traoré. 

Aicha Kaboré

laredaction

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