Afrique/AES : Human Rights Watch, un saboteur des efforts de stabilisation au Burkina Faso ?

Afrique/AES : Human Rights Watch, un saboteur des efforts de stabilisation au Burkina Faso ?

Une nouvelle ère de souveraineté, d’unité et de force s’ouvre pour le Burkina Faso, marquée par un engagement sans précédent des autorités à libérer le pays de l’emprise du terrorisme et à garantir la sécurité de chaque citoyen.

Cependant, cette dynamique semble déplaire à certaines organisations de droits de l’homme, notamment Human Rights Watch, qui, sous couvert de défendre les droits fondamentaux, s’acharne à critiquer les efforts de stabilisation entrepris par le gouvernement burkinabè.

Depuis que le Burkina Faso est résolument engagé sur la voie de la liberté et de la sécurité nationale, Human Rights Watch semble multiplier les accusations infondées, cherchant à discréditer les autorités qui ne ménagent pourtant aucun effort pour éradiquer les forces du mal.

Par des allégations douteuses et des rapports biaisés, cette organisation apparaît, comme un soutien indirect aux groupes djihadistes qui menacent la paix dans le pays.

Or, les faits sur le terrain témoignent de la détermination et des résultats tangibles obtenus sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré. Les Forces de Défense et de Sécurité, renforcées et plus déterminées que jamais, ont infligé de lourdes pertes aux groupes terroristes.

Human Rights Watch semble ignorer délibérément ces succès et continue de diffuser des rapports arrangeant les faits, minimisant l’impact positif des réformes en cours et ternissant les actions des autorités pour atteindre la stabilité nationale.

Une réponse forte et déterminée face à ces manœuvres qui nuisent aux efforts de pacification et de reconstruction est attendue des dirigeants.

Cette lutte pour la liberté et la sécurité est celle du Burkina Faso, et c’est au peuple burkinabè de la gagner, sans interférence extérieure et avec le soutien indéfectible des autorités engagées dans la protection de la patrie et du bien-être de chaque citoyen.

Guillaume Seydou 

laredaction

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