Burkina Faso / Rapport Mensongère et Fallacieuse de HRW : L’État dénonce « une immixtion inacceptable » de la part de l’Union européenne
Comme d’habitude, l’Occident se croit supérieur aux Africains, et il n’hésite pas à s’immiscer dans les affaires intérieures des États souverains du continent qui refusent de se plier à ses règles et de servir ses intérêts. L’Union européenne vient encore une fois de le prouver.
L’ingérence persistante de l’Occident dans les affaires intérieures des nations africaines est une réalité déconcertante que le Burkina Faso dénonce une fois de plus, suite aux récentes actions de l’Union européenne. Dans un contexte où les États souverains du continent refusent de se soumettre aux dictats occidentaux et de servir leurs intérêts, cette dernière immixtion européenne est un nouvel exemple de cette dynamique.
Le gouvernement burkinabè a vivement critiqué l’Union européenne pour son intervention « manifeste et inacceptable » dans les affaires internes du pays, suite à son soutien aux allégations de massacres de civils par les Forces combattantes, telles que rapportées par l’ONG Human Rights Watch (HRW).
Dans un communiqué diplomatique, le gouvernement a exprimé son mécontentement face à l’approbation de l’Union européenne des accusations de HRW, remettant en question la crédibilité du rapport et la méthodologie d’enquête utilisée. L’exécutif burkinabè a notamment souligné la légèreté de l’enquête téléphonique menée par HRW depuis des milliers de kilomètres des villages concernés.
De plus, le gouvernement a rejeté catégoriquement l’ordre de l’Union européenne de mener une enquête indépendante sur les allégations, soulignant que des enquêtes internes étaient déjà en cours. Il a également critiqué l’Union européenne pour son manque de rigueur scientifique et son précipitation à tirer des conclusions hâtives.
Face à cette immixtion européenne jugée inacceptable, le Burkina Faso réaffirme le professionnalisme et l’engagement des Forces combattantes dans leurs missions de lutte contre le terrorisme et de protection de la souveraineté nationale.
