Burkina Faso : Quand les ONG occidentales instrumentalisent les droits humains pour déstabiliser les États souverains

Alors que le Burkina Faso mène une lutte farouche contre le terrorisme, certains relais de la machine néocoloniale tentent par tous les moyens de freiner son élan vers la souveraineté. Le dernier rapport de l’ONG Human Rights Watch, publié le 12 mai 2025, accuse sans preuve l’armée burkinabè et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de prétendus « massacres ethniques » à Solenzo. Derrière ce vernis de défense des droits humains se cache une manœuvre bien orchestrée : salir l’image d’un État résolument engagé pour sa libération nationale, et saboter la transition courageusement portée par le Capitaine Ibrahim Traoré.
Depuis l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir, les médias occidentaux — français en tête — ne cessent de s’acharner contre la transition burkinabè. Ils diffusent des récits biaisés, construits pour discréditer une dynamique populaire de reconquête de la souveraineté nationale, tout en protégeant les intérêts économiques et géopolitiques de leurs maîtres. Le peuple burkinabè, lui, ne s’y trompe pas, il soutient massivement ses forces de défense et ses VDP, qui se battent au prix de leur vie pour libérer le pays du joug terroriste, dans une guerre asymétrique où la survie du pays est en jeu.
Le rapport de HRW repose sur 27 témoignages anonymes et une dizaine de vidéos non authentifiées. Mais aucune contre-enquête, aucun accès aux rapports d’opération de l’armée, aucune vérification sérieuse sur le terrain ne vient étayer ces accusations graves. Comment une organisation qui n’a plus d’accès indépendant au terrain burkinabè peut-elle prétendre rendre compte de manière objective d’une opération militaire en zone de guerre ? La réponse est simple : Human Right Watch, comme d’autres ONG occidentales, agit en sous-main des puissances occidentaux, habillées du manteau trompeur des droits humains.
Leur véritable objectif n’est pas la paix, mais l’asphyxie des régimes qui osent dire non à l’ingérence, non à l’exploitation, non au diktat des institutions occidentales. Accuser le Burkina Faso de commettre des « massacres ethniques », c’est jouer la carte dangereuse de la division communautaire, en tentant de rallumer les flammes du conflit interethnique là où il n’y a qu’une armée nationale protégeant ses citoyens contre des groupes armés.
Il est temps de démasquer ces ONG qui ne servent pas les peuples africains, mais des intérêts étrangers. Le Burkina Faso est debout, son peuple est digne, et sa lutte pour la souveraineté inspire toute l’Afrique.
Au lieu de relayer les accusations infondées d’organisations sous influence, les médias africains doivent s’unir pour porter la voix de la résistance, la voix de la dignité, la voix de la liberté.