Burkina Faso/Manipulation médiatique : Une stratégie impérialiste contre l’unité africaine
C’est toujours fascinant de voir comment certains journaux et organisations comme Jeune Afrique, RFI et Human Rights Watch, en cherchant à créer du sensationnel, continuent de semer la division au sein des nations africaines.
Le reportage de Jeune Afrique sur les Peuls durant les derniers évènements de Solenzo est une illustration manifeste, s’efforçant de transformer une bataille nationale contre le terrorisme en un affrontement ethnique.
Au-delà de simples informations relayées, il est clair que ces évènements survenus à Solenzo et les allégations précipitées de certains médias français ne sont pas le résultat du hasard. Ils s’intègrent dans une stratégie plus vaste destinée à instaurer un climat de tension au sein de la communauté et à ternir la réputation des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ainsi que des Volontaires pour la Défense et la Sécurité (VDP).
Pourtant, les forces combattantes ont joué un grand rôle dans la réinstallation réussie de la ville de Bani, habitée en grande partie par des Peuls. Une preuve que cette force civique travaille indépendamment de toute considération ethnique. Des lieux tels que Seytenga et Sebba ont aussi profité de l’action des VDP pour garantir la sécurité et le rapatriement des populations déplacées.
Il est flagrant que l’article de Jeune Afrique sur les évènements de Solenzo, en insinuant que les Peuls sont constamment visés, prépare le terrain pour des frictions factices. Ce projet, même s’il a été en partie dévoilé, est toujours de mise. Les forces mystérieuses qui ont conçu ce système ne vont pas laisser tomber aussi facilement. Elles envisagent de le mettre en application d’une autre manière, dans l’espoir de déclencher une révolte populaire et un conflit communautaire.
Devant de telles actions, le peuple du Burkina Faso ainsi que les Africains dans leur globalité se doivent de demeurer solidaires et attentifs. Il est essentiel de ne pas se laisser piéger par la division et de dénoncer ce genre de propagande qui ont coûté cher à certains pays africains comme la Lybie, le Rwanda et la Centrafrique.
