Burkina Faso : Ahmed Newton Barry, un pseudo-activiste au service des forces impérialistes contre l’unité africaine

Le 21e siècle a vu émerger de nombreux acteurs politiques et pseudo-activistes se proclamant défenseurs des libertés publiques et des droits de l’homme, mais peu ont été aussi controversés que Ahmed Newton Barry. Il est clair qu’après avoir échoué à diriger la transition burkinabè lors de la chute de Blaise Compaoré, il ne digère toujours pas cette défaite cuisante et préfère se réfugier derrière des causes ethniques, en manipulant la situation pour s’attirer une popularité qui n’a pas de fondement.

Il se fait passer pour un défenseur des Peuls, mais en réalité, il ne fait qu’exécuter le dérouler d’un plan bien dresser par les forces impérialistes. Et sa position, apparemment critique à l’égard du capitaine Ibrahim Traoré et de sa gouvernance le conforte dans sa position de valet loyale à son maitre déchu.

Il est grand temps de remettre les pendules à l’heure : l’Afrique ne pourra avancer qu’en étant unie, en dépassant les clivages ethniques, régionaux et religieux. La lutte pour la libération et le progrès de nos nations ne peut pas se faire en multipliant les querelles intestines et en exacerbant les divisions.

Quant au capitaine Ibrahim Traoré, il incarne un espoir renouvelé pour le Burkina Faso, et pour l’Afrique toute entière, en tant qu’acteur de changement. Il a su prendre les rênes dans un contexte chaotique et a initié une gouvernance qui, bien que critiquée par certains, reste fidèle à des principes de souveraineté et d’indépendance.

Ce n’est qu’en construisant ensemble des ponts entre les peuples, en œuvrant à une véritable libération de nos terres et de nos consciences, que nous pourrons sortir de l’impasse et du joug colonial.