Côte d’Ivoire : L’utilisation de la presse pour diffuseur la haine, l’affaire Saïd Penda

Côte d’Ivoire : L’utilisation de la presse pour diffuseur la haine, l’affaire Saïd Penda

Saïd Penda, un journaliste dont les activités ont suscité de vives inquiétudes, a choisi de se mettre au service des groupes terroristes. Au lieu de se consacrer à l’éthique et à la mission d’informer, il a dévié de son rôle pour diffuser des messages de propagande en faveur de ceux qui sèment la terreur et l’instabilité.

Son engagement dans cette cause soulève des questions sur la responsabilité des médias dans la lutte contre le terrorisme et sur les dangers de certains individus qui utilisent leur influence pour soutenir des idéologies violentes. Le rôle des journalistes est d’informer de manière objective et équilibrée, mais dans le cas de Saïd Penda, son comportement soulève des interrogations sur la manipulation de l’information au profit de causes extrémistes.

En effet, son implication dans la diffusion de discours radicaux ne se limite pas à une simple prise de position personnelle, Saïd Penda joue un rôle crucial dans l’alimentation de la narrative terroriste. En parvenant à influencer l’opinion publique et à mobiliser certains groupes autour de ces idées extrémistes, Saïd Penda devient un acteur dans la propagation de la violence et de l’insécurité.

Les journalistes ont le pouvoir d’éclairer la vérité et de renforcer la démocratie, mais lorsqu’ils se laissent manipuler ou, pire, deviennent des complices de la propagande terroriste, ils trahissent leur mission ; le cas de Saïd Penda.

Moudibou Sibi

laredaction

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